Si l’avenir de sites et magazines historiques semble incertain, les premières difficultés de la presse spécialisée dans le jeu vidéo remontent au début des années 2000, rappelle le chercheur Boris Krywicki.
Triste réalité d'un segment de la presse qui meurt à petit feu.
J'ai de l'espoir en son renouveau et les initiatives qui sont apparues dernièrement comme Sumimasen Turbo ou Origami en sont la preuve.
Dans ma jeunesse, j’étais lecteur assidu de quelques magazines (je fais parti de ceux qui ont connu player one !), et avec internet j’ai en partie arrêté. Puis au final il y a quelques mois je me suis abonné à CanardPC et je vous recommande.
Mais dans tous les cas l’âge d’or de la presse (gratuite ou payante, papier ou en ligne) est révolu.
Il y a quoi, 3 ou 4 médias JV de qualité et sérieux en France maintenant ? Le reste c’est du putaclic, du contenu sponsorisé ou du contenu sponsorise indirectement (via les pubs). Après il y a du bon contenu sous d’autres forme, Nostalgeek par exemple.
J'ai des souvenirs d'être tout excité en lisant un Joystick sur Guild Wars autrefois. Je me souviens aussi qu'il disait pas mal d'exagération basées sur le marketing des jeux parce qu'ils n'avaient pas le temps de jouer vraiment avant de publier.
Joueur patient aujourd'hui, lire les critiques diverses d'anonymes sur les réseaux pendant un an ou plus avant de peut-être me décider me suffit bien largement à trouver les bons jeux.
Idem pour les salons de jeux. Ça n’a plus aucun sens aujourd’hui.
Seul certains type de compétitions reste en présentiel ; les jeux de combats où la victoire se joue à quelques images. Et avec le rollback netcode qui se démocratise, le présentiel peut être organisé autour de quelques compétiteurs uniquement (les 64 finalistes, par exemples).
Avec internet, tu as accès aux joueurs, au vidéos. L’attraction tourne autour de la présence d’un jeu sur les déférents cercles sociaux. Le centre de l’intérêt des gens tournent autour des influenceurs dont la plupart sont des quidams.